TÉMOIGNAGES


Raymonde de Jonquière

Ma fille souffrait d'asthme
depuis plusieurs années. Un dimanche matin, elle a fait un broncho-spasme, elle était sans vie. Son père l'a ranimée et à l'hôpital, toute la journée s'est passée avant qu'elle ne reprenne conscience. J'ai prié avec le groupe de prière pour qu'elle revienne en santé, sinon... je la donnerais au Seigneur. Elle est revenue en bonne santé. Merci, Seigneur, pour cette guérison ! Raymonde de Jonquière




Jeanne de Jonquière

Merci Seigneur
d'avoir guéri mon mari d'une forte sinusite au congrès de Granby, lors du ministère d'imposition des mains. Gloire te soit rendue, Seigneur ! Jeanne de Jonquière




Lucille Chamberland:

Voici ce que j'ai vu ces deux dernières semaines, à la suite d'une session de guérison animée par Noëlla Saint-Onge et son équipe de Plantagenet.
Toute la journée, nous avons vécu des démarches de guérison : déposer nos fardeaux au pied de la croix ; méditer sur Jésus qui guérit encore aujourd'hui ; vivre le ministère d'imposition des mains ; accueillir un témoignage de pardon et l'expérimenter par personnes interposées ; célébrer une messe de guérison pour les lignées familiales.
Ce ressourcement a produit des fruits. Voici des témoignages entendus lors d'une soirée de prière.
Une jeune dame a reçu une grâce spéciale de pardon envers son père. Suite à cette journée, elle a repris contact avec lui. Il y a eu des pleurs de soulagement et de guérison. Ils se sont parlé des heures durant dans la joie de se retrouver. Une merveille de guérison du cœur par le pardon dans cette famille. Que Dieu en soit loué pour toujours !
Invitée par une amie, une autre dame est venue vivre cette journée. Pour elle, c'était comme une dernière démarche : elle portait une telle douleur. Jésus l'a appelée car il l'attendait pour la guérir. Le Seigneur a procédé par image et lui a fait voir son cœur tout cadenassé, fermé à double tour. Elle a accepté de briser le cadenas pour montrer son cœur à Jésus. Elle n'avait plus rien à perdre sauf, peut-être, sa douleur trop difficile à vivre. Elle a vu Jésus prendre son cœur avec tendresse et précaution et le bercer tout doucement : il lui révélait son cœur de Sauveur, un cœur vrai, plein de pitié et de compassion. Elle a beaucoup pleuré dans cette rencontre avec son Sauveur. Deux jours plus tard, elle témoignait de sa surprise d'avoir vécu tout cela. Elle se sent bien depuis ce jour-là. Nous pouvons constater une fois de plus que le Seigneur est toujours puissant dans ses œuvres. Merveille est son nom !
Plusieurs autres personnes ont affirmé avoir constaté une guérison en eux sans trop savoir comment l'exprimer. Mais cette guérison du cœur continue. Elles peuvent le voir par des signes qui se manifestent en eux. Beaucoup vivent une belle et grande paix depuis cette rencontre de Jésus guérissant les cœurs.
Moi-même, je vis dans la paix même si j'ai au cœur une grande douleur mais ce dont je suis certaine, c'est que Dieu agit dans les situations les plus pénibles. Il suffit de lui faire confiance, de croire en Celui qui peut tout.
Aujourd'hui le Seigneur est aussi puissant qu'à la résurrection. Croyons en lui... pour nous, pour les nôtres et pour notre coin de pays.
Lucille Chamberland




Gérard Gagnon de North Bay

Guérison au VIIe Congrès national à Granby



Le 20 septembre 2000,

Révérend Père Goupil,
Il me fait grand plaisir de vous annoncer la grande guérison reçue lors du dernier congrès, à Granby, les 8, 9 et 10 septembre 2000. J'y ai été guéri de bronchites chroniques avancées.
Depuis quatre ans, je fais bouillir de l'eau et, d'une serviette, je me couvre la tête ; je prends de grandes respirations pour libérer mes poumons des accumulations constantes de mucus. Moucher, cracher et tousser pendant trente à soixante minutes... La plupart du temps, soixante. Je répétais ce traitement sept jours par semaine, sans répit. Je n'ai jamais osé ne pas faire bouillir de l'eau chaque jour, car le mucus augmentait si je ne dégageais pas mes poumons quotidiennement.
Durant ce traitement, je toussais et crachais. Mon épouse était découragée, parce que ce mal troublait beaucoup la tranquillité du foyer. Je faisais un bruit énorme, même si j'étais au sous-sol dans une chambre, la porte bien fermée. J'avais même construit une grande boîte de bois de quatre pieds sur quatre, haute de sept, dont j'avais recouvert l'intérieur de panneaux d'éponges pour mieux absorber le bruit.
Le vendredi soir, dès l'ouverture du congrès, je me sentis touché par l'Esprit saint. Les larmes coulaient librement de mes yeux. Le lendemain, en après-midi, on m'a imposé les mains. Des paroles inspirées ont été dites : " D'ici quelques jours, quelque chose se passera et vous saurez clairement de quoi il s'agit ".
Le lendemain matin, dimanche, je respirais plus facilement et je n'avais pas eu besoin de faire bouillir de l'eau pour dégager le mucus de mes poumons. Une grande joie s'est emparée de moi. Je me disais : " Que ça fait du bien, Seigneur ! Je suis capable de respirer facilement ! Dieu merci ! Que ton saint Nom soit béni à jamais ! "
Le dimanche après-midi, on m'a de nouveau imposé les mains. On disait : " Les poumons sont affectés ainsi que les cordes vocales ". Aussi, l'on mentionne le nom du père Régimbal et l'on rappelle l'asthme dont il avait souffert pendant sa vie. On a imploré son intercession.
Révérend Père, je vous assure que je demeure très reconnaissant de la guérison complète de mes bronchites. J'ai démonté ma boîte aujourd'hui. À chaque jour, je louange le Seigneur et je chante ces merveilles qu'il m'a faites. J'ai toujours aimé chanter et, maintenant, j'ai mille raisons de louer le Seigneur. Alléluia et que Dieu soit béni à jamais !
Encore une fois, Dieu, merci à jamais ! Et béni soit son saint Nom pour la guérison et les nombreuses bénédictions qu'Il a versées sur moi !
Sincèrement,
Gérard Gagnon de North Bay




Mélanie Audet de Jonquière



Depuis environ 3 ans...
j'avais toujours mal à la tête. Au mois d'octobre dernier, lors de mon anniversaire, nous avons prié afin que le Seigneur guérisse cette douleur. En fait, j'ai reçu un très beau cadeau de fête, car depuis je n'ai plus mal à la tête. Merci Seigneur de ta bonté. J'ai enfin saisi ce que voulait dire ce verset en Jn 16, 24 : " Jusqu'ici vous n'avez rien demandé en mon nom : demandez et vous recevrez, pour que votre joie soit parfaite ". Je te remercie, Seigneur. Maintenant je comprends que jamais tu ne me laisseras seule. Tu es toujours présent, même dans mes moments les plus difficiles. Je te loue de la joie et de la paix que tu m'apportes.
Mélanie Audet de Jonquière



Magazine SELON SA PAROLE (QUÉBEC) traitant de questions reliées à la spiritualité, l'évangélisation, l'éducation de la foi et la vie en Église
Selon Sa Parole janvier-février 2001 vol. 27 numéro 1


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Dernière mise à jour 8 février 2001

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